Aujourd’hui, ça me tente de parler de Facebook. 

Comme je l’ai déjà dit dans un de mes articles, j’ai un talent particulier pour la procrastination. J’essaie constamment de trouver des façons différentes de tuer cette mauvaise habitude qui me prend tout mon temps. Je suis vraiment ridicule, je repousse même les choses que j’ai envie de faire, souvent pour faire des activités complètement vides. Je dirais que 90% de ce temps perdu est consacré à Facebook à regarder des choses qui, la plupart du temps, ne m’intéressent pas. Ce n’est pas rare de me rendre au bout des nouvelles que je n’ai jamais vu et d’actualiser la page aux 5 minutes pour voir s’il n’y a pas quelque chose de nouveau. Je n’ai jamais compté le nombre d’heures passées sur ce site et honnêtement, je préfère ne pas le savoir, c’est probablement beaucoup trop. J’ai donc décidé en janvier, en recommençant ma session, de supprimer l’application de mon cellulaire. Par contre, j’ai conservé l’application Messenger puisque je l’utilise pour communiquer, donc ce n’était pas une possibilité. Je n’ai pas non plus désactivé mon compte Facebook, car plusieurs groupes ou comités dont je fais partie communique exclusivement sur le site. Voilà un petit résumé de mon expérience! 

La première semaine : Les premiers jours, ce n’était pas nécessairement difficile, mais plutôt inhabituel. À chaque fois que j’ouvrais mon cellulaire, je ne savais pas trop quoi faire, alors je le fermais et j’allais vaquer à mes occupations. Ce fût immédiatement bénéfique pour mes études. Parfois je n’avais rien à faire, alors je faisais mes devoirs pour la semaine suivante, ce qui n’est vraiment pas dans mes habitudes de « fille dernière minute ». J’avais définitivement plus de temps. J’allais tout de même voir Facebook sur mon ordinateur une fois par jour, mais je ne faisais que regarder mes notifications, pour être sûre de ne rien manquer de majeur. 

La deuxième semaine : La lune de miel s’est un peu ternie quand j’ai dû aller sur Facebook sur le navigateur de mon cellulaire pour vérifier quelque chose. Mon cellulaire s’est mis à m’envoyer les notifications Facebook, ce qui à chaque fois m’incitait à y aller. J’ai finis par désactiver les notifications, mais le mal était déjà fait. Je me suis remise à visiter le site, quand même moins fréquemment qu’avant, mais il m’est devenu un peu trop accessible à nouveau. (Je ne sais pas pourquoi je n’y ai pas pensé avant d’ailleurs.)

La troisième semaine : Je me suis reprise en main, j’ai presquearrêter d’y aller sur le navigateur. Par contre, ma perte de temps s’est transmise ailleurs : Snapchat. Je me suis mise à lire tout ce qu’il y avait sur la page explore. Sérieusement, il y a des trucs franchement intéressant sur ce site! Parmi les « chicanes » entre star et les grands titres du genre « Kylie Jenner cut her hair and WE LOVE IT!!!!!!!!! », on peut y trouver des articles de The Economist (je suis très étonnée de les retrouver là honnêtement), de National Geographic et d’autres choses différentes comme Vice. C’est quand même plus intéressant que Facebook honnêtement et il y a une limite à ce que je peux regarder par jour. Donc, même si je perdais mon temps, j’en perdais beaucoup moins. 

La dernière semaine : Cette semaine n’était pas la meilleure. J’ai flanché à nouveau; j’ai recommencé à consulter Facebook sur Chorme sur mon cellulaire. En plus de Snapchat. Oups… À tout ça, j’ai même ajouté Duolingo (Okay, c’est moins pire, puisqu’au moins c’est éducatif). Tout le temps que j’avais de libre au début de cette expérience n’était plus. Ça a l’air que ma procrastination est plus forte que moi! 

Conclusion : 

Au final, même si j’ai été loin d’être parfaite, cette expérience a été très intéressante. Elle m’a permis de réaliser à quel point je perds du temps sur les réseaux sociaux. Même à la fin, lorsque que j’ai recommencé à visiter Facebook, j’y allais beaucoup moins qu’avant parce que c’est frustrant et beaucoup moins beau sur Chrome que sur l’application. Je l’avoue, quand je commençais à regarder Facebook, j’y restais quand même un bon moment, mais sans les notifications qui me rappelaient sans cesse son existence, j’y allais beaucoup moins souvent. Même avec Snapchat et Facebook dans la dernière semaine, je passais beaucoup moins d’heures sur mon cellulaire qu’avant cette expérience. Je suis vraiment quelqu’un qui adore les réseaux sociaux, mais honnêtement, pour moi c’était rendu un peu « too much », et je suis convaincue que je ne suis pas la seule dans cette situation. 

Et au final, je n’ai jamais réinstallé l’application sur mon cellulaire! 

Et vous, combien de temps passez vous sur Facebook en moyenne? Pensez vous que c’est trop? 

Je vous conseille d’essayer ça par vous-même et revenez-moi avec votre propre expérience! 

Ciao! 

Aujourd’hui, ça me tente de parler de quelque chose que j’ai essayé dans les derniers mois.

DietBet. 

Et qu’est-ce que c’est ? Un site internet/application où l’on gage de l’argent sur le fait que l’on va perdre du poids. Si l’on réussit, on prend l’argent de ceux qui n’ont pas réussi, et bien sûr, si l’on perd, c’est les gagnants qui prennent l’argent.

Au début de l’été, j’étais à mon poids le plus haut de ma vie. Disons que retourner chez mes parents pour un été, il n’y a pas que du positif ! C’est en navigant sur Facebook que j’ai cliqué sur un lien qu’habituellement, j’aurais ignoré. Un truc du genre : «10 legit ways to make money online». Ne me demandez pas pourquoi j’ai cliqué là-dessus, normalement je fuis ce genre de post. Mais bref, celui-là a piqué ma curiosité dieu sais pourquoi. Dans cet article, il y avait ce site, DietBet, qui était une façon de se faire un peu d’argent en perdant du poids. Je me suis dit : de toute façon, je veux perdre du poids ! Pourquoi pas ne pas gagner de l’argent en même temps ? En plus, j’aurai une motivation monétaire. J’ai fait quelques recherches pour m’assurer que ce n’était pas une arnaque et je me suis lancée.

Il y a trois types de DietBet : Kickstarter, qui consiste à perdre 4% de son poids en 4 semaines, Transformer, qui consiste à perdre 10% en 6 mois et le petit nouveau, Maintainer, qui comme dit le titre, consiste à maintenir son poids actuel.

J’ai choisi, pour ma part, de faire un Kickstarter. En fait, deux Kickstarter. Il est possible de faire jusqu’à 3 DietBet en même temps, et comme j’étais déterminée à perdre du poids, je me suis dit, tant qu’à être rendue là, je vais gager encore plus d’argent ! J’ai parié 60$ US en tout. Honnêtement, en tant qu’étudiante, je ne pouvais pas me permettre de le perdre, en plus d’être un peu mauvaise perdante. En gageant, perdre n’était tout simplement pas une possibilité.

Au final, est-ce que j’ai réussi ? Oui ! Je devais perdre 7 livres environ et ça n’a pas été extrêmement difficile. J’ai gagné quelque chose comme 22$ US. J’ai immédiatement eu envie de recommencer, et cette fois-ci, j’ai même gagé sur trois parties en même temps !

C’est là que les choses se sont un peu corsées. Le deuxième 7 livres fut beaucoup plus difficile à perdre. C’est beaucoup 14 livres en deux mois, c’est même un peu trop. Mais tête dure comme je suis, je voulais le faire. Est-ce que j’ai réussi ? Oui. (J’avais gagé 65$ US en tout cette fois-là, et j’ai gagné 29$ US) Est-ce que le ferais à nouveau ? Non. 

Les 4 jours avant la pesée finale, j’étais une vrai boule de stress. Je n’avais pas encore atteint mon poids. Je ne voulais vraiment, mais VRAIMENT, pas perdre. Je me privais presque de nourriture, je n’osais pas faire trop d’exercice physique musculaire, de peur de prendre du muscle. Je ne pensais qu’à ça.

Honnêtement, j’ai trouvé que ce jeu nous pousse vers des comportements malsains. Les chiffres sur la balance ne sont pas du tout des chiffres que l’on contrôle. Selon les jours, selon les activités, selon l’eau bue, le poids varie sans cesse. Je ne crois pas être à surveiller pour des troubles alimentaires, comme l’anorexie par exemple, mais ce type de jeu pourrait être très dangereux pour ceux qui sont à risque ou qui, tout simplement, ont cette maladie. J’ai été extrêmement anxieuse dans les derniers jours, au point où j’avais de la difficulté à fonctionner dans mes cours à l’école. Je ne trouve pas ça sain du tout.

Oui, j’ai perdu du poids. Oui, j’ai gagné de l’argent. Mais ça ne vaut pas la peine si c’est en dépit de ma santé physique et mentale. J’ai su m’arrêter au bon moment (ou presque), mais je ne crois pas que ce soit le cas de tout le monde.

Je n’y vois pas que du mal par contre. Je crois que c’est super pour se donner un coup de pied aux fesses pour commencer, mais c’est insoutenable au long terme. De plus, la communauté est très agréable est les gens très encourageante.

L’option Transformer me semble peut-être un peu plus douce, mais c’est toujours avec un chiffre sur la balance, ce qui me dérange un peu. Pour ce qui est de Maintainer, je crois que c’est relativement une bonne idée, car ça n’incite pas à perdre du poids, mais à garder son poids santé, bien qu’encore une fois, on ne peut pas contrôler le poids à 100%.

Je tiens à dire que la compagnie qui a créé DietBet, WayBetter, est pleine de bonnes intentions. C’est une bonne idée, mais qui en pratique n’est pas parfaite. Par contre, ils ont un nouveau jeu qui me semble une très bonne alternative : StepBet. Pour ceux qui ont une montre FitBit qui compte les pas, ce jeu, avec le même principe de gage d’argent, vous incite à marcher plus. Si vous n’arrivez pas à faire tous les pas durant votre semaine, vous être éliminé. Ne vous inquiétez pas, vous avez le droit à deux jours «off». Malheureusement, la connexion avec les montres autres que FitBit n’est pas encore disponible (j’ai la Vivofit malheureusement…). Cette idée me plait beaucoup plus, car c’est quelque chose que l’on peut contrôler !

Présentement, WayBetter a un projet pilote : WorkoutBet (dont je fais partie !). Même concept, sauf avec des entrainements. Ça aussi, on le contrôle, donc dès que c’est disponible pour tout le monde, je vous le conseille fortement ! Honnêtement, ce soir je n’avais vraiment pas envie de faire mon entrainement, mais je l’ai quand même fait à cause de ce pari. Si ce n’est pas de la motivation ça ! Edit: Il va aussi y avoir RunBet! J'ai déjà hâte!

Et vous, avez-vous déjà essayé DietBet ou un truc du genre ?

Merci de m’avoir lu et ciao les amigos!
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PS Je ne suis aucunement commanditée par WayBetter, et je n’ai aucun lien avec eux.

Hier, c’était la journée internationale des chats, alors aujourd’hui, ça me tente de parler de chats ! (Je le sais parce qu'ils m'ont donné des gâteries gratuite pour chats chez Mondou pour l'occasion) Pour ceux qui me connaissent personnellement, vous êtes probablement déjà au courant que j’entre facilement dans la catégorie « Folle à chat ». J’aime vraiment beaucoup les chats. C’est pourquoi quand j’ai quitté la maison familiale, il me fallait absolument un chat. C’est alors que j’ai décidé de me tourner vers un refuge de ma région : la Société de protection des animaux du Littoral.

J’ai connu ce refuge quelques mois avant d’adopter mon chat, il y a de ça un peu plus d’un an. Une jolie chatte avait eu une portée dans notre garage, et ma famille et moi ne savions pas trop quoi faire avec les petits chatons. Nous ne voulions pas les laisser dehors et nous ne voulions pas non plus les donner puisque nous ne savions pas trop s’ils étaient en santé. C’est sur Facebook qu’une personne m’a conseillé ce refuge. J’ai pris contact avec eux et ils ont pris les chats même si le refuge était déjà rempli. C’est en allant porter la maman et ses chatons que j’ai découvert mon paradis ; des centaines de chats en liberté qui veulent juste jouer ou se faire caresser. J’ai fréquenté l’endroit à une dizaine de reprises avant de trouver mon chat : Boris. 

Je n’ai jamais regretté mon choix d’avoir adopté et de ne pas avoir « acheté » dans une animalerie. Je trouve que beaucoup plus de gens devraient en faire de même.

Pourquoi ?

Voici quelques raisons :

Malheureusement, encore aujourd’hui, beaucoup de gens abandonnent leurs animaux. Malgré la sensibilisation, plusieurs propriétaires ne réalisent pas qu’un animal ce n’est pas un toutou. Oui, c’est mignon, mais ça ne s’arrête pas là. Il faut jouer avec lui, être présent, faire sa litière, le faire garder si on part trop longtemps, le nourrir, l’emporter chez le vétérinaire et trouver un logement qui l’accepte. Ça semble simple, mais ce ne l’est pas toujours. Alors, ils abandonnent en se disant qu’il trouvera une meilleure famille, mais souvent les refuges sont tellement pleins que certains animaux se font euthanasier pour laisser la place aux nouveaux. Cette pratique n’est pas effectuée dans tous les refuges, mais elle est bien réelle. En plus de tout ça, quand les gens veulent un animal, ils pensent rarement aux refuges : donc peu d’adoption et plusieurs abandons.

Ce n’est pas toujours vrai, mais la plupart du temps, adopter coûte moins cher. Quand on adopte, le chat est presque toujours stérilisé, vacciné et vermifugé. Les frais d’adoption sont souvent moins chers que de tout faire chez le vétérinaire. C’est donc une option économique !

Dans certaines animaleries, il n’est pas toujours possible de savoir d’où viennent vraiment nos animaux. Beaucoup peuvent provenir « d’usines » à chiot et à chat, c’est-à-dire des éleveurs qui ne s’occupent pas du bien-être des animaux et qui les font s’accoupler à répétition. De plus, souvent ces animaux sont mal socialisés, car ils ne passent pas assez de temps avec leurs parents. Tout ça peut aussi s’appliquer aux « éleveurs » sans permis.

Si tu veux ABSOLUMENT avoir un bébé chat, ils en ont aussi dans les refuges. Ils sont tous aussi mignons, je te le jure !

Dans le sens littéral ou non (passer sa vie dans un refuge, ce n’est pas vraiment une vie…), tu sauves une vie ! Quand je suis allée au refuge la dernière fois, la bénévole m’a parlé d’un chat qui venait d’arriver. Il avait été emporté chez le vétérinaire avec une dizaine d’autres chats pour être euthanasié. Une femme avait des problèmes de santé et elle n’a pas eu le choix de se départir de tous ses chats. Le vétérinaire avait donc lancé un appel à l’aide pour les faire adopter. Plusieurs ont été adoptés, d’autres placés en famille d’accueil, mais il restait celui-ci dans le refuge. Il n’était pas encore stérilisé, alors il ne pouvait pas être en liberté avec les autres, et le pauvre détestait ça. On l’entendait miauler partout dans le refuge et il se frottait tellement fort sur la grille qu’il lui manquait du poil sur le nez. Il s’appelait Hilo et il était tout blanc. Dès que je l’ai approché, il a arrêté et s’est mis à ronronner. Je l’ai pris dans mes bras et j’ai su tout de suite que c’était le bon ! Ce chat aurait été incapable de rester dans un refuge longtemps, il aurait eu une vie misérable, mais je l’ai sauvé. Juste pour exemple, voici une photo de Boris à son premier jour chez moi :

Et j’ajoute 2 raisons d’adopter un chat adulte :

Mon chat était le plus dépendant affectif de tous les chats du refuge, et c’est toujours le cas. Il est tellement collant que c'est presque tannant, mais s’il avait été un chat trop indépendant, je ne l’aurais pas adopté. Par contre, d’autres gens préfèrent un chat indépendant qui ne demande pas trop d’attention. Quand on adopte un bébé, on ne sait pas trop quel genre de personnalité il aura plus tard. Alors avec un chat adulte, pas de mauvaises surprises !

Plus le chat est vieux, plus il est difficile à faire adopter. Alors c’est vraiment donner une chance à un chat qui risque de ne pas en avoir. Encore mieux, un chat avec un handicap (manque une des pattes par exemple) ou si vous avez les moyens, un chat avec une maladie qui nécessite des soins spéciaux.

Ça s’applique pour tout type d’animaux, mais j’ai seulement de l’expérience avec des chats alors… voilà ! Alors, pensez-sy bien la prochaine fois que vous voulez avoir un petit chat !

PS: Tous les chats que nous avons trouvés dans notre garage ont été adoptés, incluant la maman qui avait 7 ans. Bien sûr, mes parents en ont gardé un !

Aujourd'hui, ça me tente de parler des « joies » d'avoir les cheveux épais. Personnellement, je n'ai jamais rencontré quelqu'un avec des cheveux épais comme moi. Preuve :

Mes tresses étaient énormes. Heureusement, aujourd'hui j'en ai peut-être plus autant, mais ils sont toujours aussi dérangeant je vous le jure! Je tiens à ajouter que les miens gonflent toujours et se mêlent de rien... En bref, mes cheveux sont comme des cheveux frisés, sans être frisés! Donc voilà, peut-être que certains vont se reconnaitre dans cette liste des joies/malheurs de cheveux frisés.

Les cheveux épais des stars sont enviés par tout le monde, avec tout ce volume... Mais quand on arrive dans la réalité nos cheveux ressemble plus d'une vieille mop. Le volume n'est jamais aux bons endroits.

Les gens normaux ne doivent pas se rendre compte à quel point il y a des produits volumisant sur le marché. Je finis toujours par sortir de la douche et avoir l'air d'un champignon dès que mes cheveux sèchent.

Sérieusement, c'est encombrant des cheveux. Je passe la majorité de mon été avec les cheveux attaché pour être honnête.

S'il ne vente pas trop, les cheveux couvrent très bien les oreilles!

Cette année, j'ai fait un gros changement dans mes cheveux. Depuis plus de 5 ans, j'avais les cheveux aux hanches et j'ai coupé mes cheveux au clavicules. Mauvaise idée. Mes cheveux gonflent encore plus, car ils ne sont plus aussi lourds...

En général, ce genre de produit est évité par la plupart des gens, mais personnellement, si je lis une critique négative qui dit que ça alourdie les cheveux, je vais probablement prendre ça pour un atout positif.

Je l'avoue, j'y ai pensé. Je vous le jure. La vie serait tellement plus simple...

8. Ne pas avoir besoin de beigne pour se faire un chignon.
Vous savez, ces beignes qui permettent de se faire un chignon parfaitement rond et gros? Et bien je me fais souvent demander si j'en ai un, mais non, c'est seulement mes cheveux...

9. Toujours avoir un élastique (ou deux) avec soi.
Quand mes cheveux m'exaspère (chaque jour je diras), je finis toujours par les attacher, donc j'ai toujours besoin d'un élastique. Par n'importe lequel, un de qualité. J'ai envie de rire quand quelqu'un veut me prêter un petit élastique tout mince, ça n'arriverait même pas à tenir le quart de mes cheveux.

10. Je les aime de tout mon coeur!
Malgré tout, j'adore mes cheveux et je ne les voudrais pas différents! En plus, je sais que je ne vais jamais en manquer yahouu!

Ça c'est mes problèmes à moi, si vous avez plus n'hésitez pas, même d'autre de type de cheveux!

Aujourd'hui, ça me tente de parler de procrastination. Je repousse toujours tout au lendemain, c'est une maladie. Si j'ai quelque chose à faire, vous pouvez être certain que ça va être fait à la dernière minute! Je repousse même les choses que j'ai envie de faire.

Exemple: Hum, j'ai vraiment de jouer à Final Fantasy/de peinturer/d'écouter Naruto/de tricoter! Ah, je vais faire ça demain! *40 jours plus tard je ne l'ai toujours pas fait*

Heureusement, avec le temps, j'ai finalement développé des trucs (que je ne respecte pas nécessairement toujours) pour pouvoir aider ma cause!


1. Se faire un horaire complet, avec des temps libres bien placé!

Personnellement, dans un moment de procrastination, je ne profite pas du tout du moment. Je ne pense qu'à la chose que je devrais être en train de faire, ce qui me gaspille encore plus d'énergie que de juste faire le travail. Je finis par m'épuiser à ne rien faire du tout. Ce que j'ai trouvé comme solution est de me faire un horaire, avec ce que j'ai à faire, en m'assurant toujours d'avoir des moments libres, dont je vais vraiment profiter sans me dire que je devrais être en train de faire autre chose! Pour l'horaire j'utilise durant l'année scolaire  une app (parce que, bien sûr, je procrastine à faire mon horaire...): Timefull. Cette app fait plein de choses automatiquement, donc pas besoin d'y penser! Elle est disponible sur l'appstore, j'ignore si elle l'est sur Android, mais j'imagine que c'est possible de trouver quelque chose de semblable.

2. Mettre de la musique

Je n'ai pas toujours le temps d'écouter de la musique, donc si par exemple je n'ai pas envie de faire le ménage, je me dis que c'est une occasion d'écouter de la musique. Ça ne s'applique pas nécessairement pas à toutes les activités, mais pour ma part, ça me motive énormément (bon, moi je suis une passionnée de la musique, alors ça dépend de tout le monde). En d'autres mots, ajouter quelque chose que vous aimez vraiment pour ajouter quelque chose de positif dans votre tâche.

3. Se récompenser

Aller s'acheter un sac à main à chaque fois qu'on finit une tâche n'est peut-être pas envisageable, mais prendre le temps de faire quelque chose qu'on apprécie après peut-être très motivant. Par exemple, on peut se dire: dès que je finis mon travail, je peux écouter un film. Si on ne le commence pas immédiatement, on n'as pas le temps de l'écouter, c'est motivant non?

4. Le faire, tout simplement!

Bon okay ce n'est pas un truc... Mais plutôt un conseil! On se sent bien mieux quand on a accompli ce qu'on avait à faire!


N’hésitez pas à m'envoyer vos trucs personnels!